Le blog de @@nickname@@

Les yeux bandés
Je te suivrais
Les yeux bandés
Je te suivrais 
Où que tu ailles
Je te suivrais 
Où que tu sois
Je te suivrais 
Sans rechigner
J'ai la passion pour le faire
J'ai la patience pour le faire
Ni frontière
Ni distance
Ne saurait se mettre à mon encontre
A l'encontre des mes dessins
Pour être avec TOI
Les yeux bandés je te suivrais
Mon cœur connaît son chemin
Lui seul saura me guider
Saura me remettre sur les rails
Les yeux bandés je te suivrais
Je te suivrais
Tellement je suis à TOI
Les yeux bandés je te suivrais
Où que tu ailles
Tellement ma confiance en TOI
N'a point de limites
Tellement ma confiance en TOI
Est on ne peut plus aveugle
Les yeux bandés je te suivrais
Sans m'en lasser
Les yeux bandés je te suivrais
Amour de ma vie
Sachant que tu me guideras
Me guideras vers ce banc
Ce banc où l'on arrêté de s'y déclarer
De s'y déclarer notre flamme
Vers ce banc portant le fameux pseudo
"Amour"
Les yeux bandés 
Je te suivrais
Sans rechigner
En attendant que tu m'enlèves cette bande
Pour que mes yeux
Ne regardent en premier
Ne croisent en premier
Ne contemplent en premier
Que l'éclat de tes yeux
L'éclat de l'amour
Dans tes yeux
L'éclat du désir
L'éclat de l'envie
Dans le miroir de tes yeux
Miroir de ton âme
Miroir de tes vœux les plus chers
Miroir de tes désirs les plus fou
En attendant que tu m'enlèves
Que tu m'enlèves cette bande
Pour me faire don
Me faire don de ce que tu as
De ce que tu cachais si bien
Dans ta solitude
Dans tes fins fonds
Dans ta vie
Ton amour
Ta douceur
Pourvu que ce don perdure
Qu'il perdure l'espace d'un temps
Qu'il perdure l'espace d'une vie
Bref... éternellement

Je suis esclave
Esclave de mon amour
Et fier de l'être
Je suis esclave
D'un si tendre sentiment
Et convaincu de l'être
Je suis esclave
Esclave de cette idée d'appartenance
D'appartenance à l'autre
Et je ne m'en rebelle pas
Je suis esclave
Esclave de cet amour
Cet amour qui m'a tant ébahi
Cet amour qui m'a tant chéri
Et je ne m'en offusque pas
Tellement cet amour s'est épris
De tout mon MOI
Tellement cet amour illumine ma vie
Mon existence même
Je suis esclave
Esclave de cet être
Etre qui m'est très cher
Qui me dorlote
Qui me laisse rêver
Sans limites
Sans contraintes
Sans m'en priver
Je suis esclave
Esclave des sentiments que je porte
Que je porte envers cet être
Je suis esclave
Esclave de cet AUTRE

Esclave de son regard
Et n'a d'yeux que pour lui
Tellement il me hante
Jour et nuit dans mes pensées
Je suis esclave
Esclave de cette pensée pour l'AUTRE
Cet AUTRE qui m'assure le bonheur
Qui m'assure mon bien-être
Je suis esclave
Esclave de ma dépendance 
De ma dépendance de l'AUTRE
Esclave certes
Pourtant je me sens bien
Bien en sa compagnie
Bien entre ses bras
Bien en lui chantant
Tous les mots d'amour
Tous ces mots existants sur terre
Bien en lui écrivant
Lui écrivant les plus belles proses
Bien en lui déclarant
Ma flamme
Et ce à tout bout de champs
Je suis esclave
Esclave du champs de lys
Ce champs lieu de nos rencontres
Champs où nos deux âmes
Champs où nos deux cœurs
Champs où nos deux corps
Champs où nos deux regards
Se croisent avec fierté et amour
Je suis esclave
Esclave de ce champs verdâtre
Champs où toutes les couleurs
Les couleurs d'arc-en-ciel
Témoignent de l'étanchéité
De notre amour
Champs où toutes les couleurs
Couleurs du printemps
Viennent meubler le tapis
Comme pour dire
Que notre printemps
Le printemps de notre amour
Est éternel
Comme pour permettre
Aux messagers d'amour
De conter notre histoire
Dans les lointaines contrées
Pour les générations futurs
Je suis ton esclave
Entré dans la légende du printemps
Tellement mon amour pour TOI
Porte l'étendard vert du printemps
Tellement mon amour pour TOI
Cultive un printemps éternel
Eternel en mon cœur
Que ni saisons
Que ni temps
Que ni frontières
Ne sauront mettre en péril
Je suis ton esclave
Je suis ton ilote
Je suis ton serf
Et je le resterais
Tout autant que tu restes
Mon amour, AMOUR
Sirène de mon cœur 

Quand je la vis marcher
Je ne crus guère mes yeux
Elle marchait pareil à une gazelle
Et faisait frémir plus d'un
Elle me regarda un moment
Puis me laissa sur ma faim
Et continua sa route
Vers cet au delà sans fin
Je me souvenais de tout
De notre première croisade
Elle marchait sans faire attention
Sans faire attention à qui que ce soit
Sans faire attention même à mes numéros
Mes numéros de clown
Voulant à tout prix attirer son attention
Attirer son attention vers moi
Toutes mes tentatives furent vaines
Chaque jour qu'on se croisait
Elle fit quelques concessions
Quelques concessions quant à son attitude
Attitude qu'elle changea au fil du temps
De la journée je n'attendais que son passage
Passage devenu quotidien
Quotidien qui s'est métamorphosé
Métamorphosé depuis le premier jour
Elle marchait toujours
Dans cette ruelle, dans cette voie
Dans cette rue, dans ce sentier
Tout en ne la perdant de vue
Elle marchait avec une aisance inouïe
Aisance qui me figeait
Me figeait un bon bout de temps
Elle marchait et marchait
Jusqu'à se perdre de vue
Et c'est ce qui me laissait perplexe
Moi qui ne trouvait point de mots
Point de mots à lui adresser
De fût tout de même une belle partie
Une bonne partie de jeu d'oie
Une partie amusante... muselante
Une partie attendrissante... bizarre même
Mais gardait tout de même 
Un certain charme qui lui est propre
Une certaine originalité qui lui est sienne
Le tout dûment saint et noble
Ce qui me chagrinait le plus
C'est qu'elle me hantait de plus en plus
De plus en plus dans mes écrits
Dans mes rêves et songes
Dans mes hallucinations
Les plus lointains
Sans pour autant me saper le moral
Je ne me rendis compte de mon amour
De mon attachement... de ma passion
Pour cet être sensible
Qu'après qu'elle m'aie regardée
Regardée droit dans les yeux
A cet instant même
Mes yeux arrêtèrent de tricher
Et mes yeux étincelèrent de mille feux
Comme pour dire qu'elle est là
Comme pour dire qu'elle est bien présente
Qu'elle s'est épris de tout mon MOI
Ce MOI souvent fugitif
Qui dû au contact de ses yeux
N'être plus rien
Elle marchait et marchait
Dans ce brouillard sans faille
Dans cette obscurité sans lumière
Je la regardais marcher
Je la perdais de vue
Mais je ne pouvais
Pour autant la rattraper
Non plus la retrouver
Elle marchait et marchait
Encore et toujours
Jusqu'à ce que je la vis
Je la vis s'asseoir sur un banc
Un banc peint tout en blanc
Un banc d'où elle me faisait signe
Signe de la rejoindre
Chose à laquelle je m'acquieçis
Accourra la retrouver
Mais elle semblait s'éloigner
S'éloigner de plus en plus
Sans que je puisse la rattraper
Rattraper mon retard
Mon retard vis-à-vis d'elle
Et je la perdis de vue
Dans ce mirage sans fin
Toutefois une voix d'ange 
Une voix d'ange me sonnait
Une voix d'ange qui m'appelait au loin
Une voix qui me demandait une chose
Une chose que je n'arrivais point
N'arrivais point à déchiffrer
Tellement je me sentais épris
Tellement je me sentais loin
A force de trop m'y approcher
Cette voix me fût reconnaissable
C'était la voix de ma mère
"Lèves-toi mon fils, c'est l'heure ?!?"

Les larmes dans tes yeux 
Je te suivais
Sans comprendre pourquoi
De grâce point de larmes
Tes yeux ne méritent ce supplice
Tes yeux ne méritent tel traitement
Les larmes dans tes yeux
Je te contemplais
Sans en comprendre la cause
De grâce point de larmes
Tes larmes si chaudes
Qui tombent sur tes douces joues
Comme tomberait une coulée de laves
Tes larmes sont chaudes certes
Mais ils en disent long
Ils en disent long sur ton amertume
De grâce point de larmes
Tes larmes transgressent ma quiétude
Tes larmes soufflent le souffre
Ce souffre qui me fait mal au coeur
De grâce point de larmes
Je n'oses te regarder
Je n'oses regarder ces yeux
Ces yeux si exquis
Ces yeux si suaves
Ces yeux qui n'arrêtent
De me faire tourner en rond
Ces yeux qui ne cessent
De me hanter l'esprit
Ces yeux que mes mains
Désirent tellement 
tellement toucher
Désirent tellement
Tellement en essuyer les larmes
Pour te montrer 
Que leur souffrances
Est juste un passage à vide
Pour te montrer 
Toute l'étendue de mon amour
En te serrant fort
En te chuchotant mon désir
En te chuchotant mon envie 
Mon envie de toi
En t'annonçant haut et fort
"je suis là mon ange"
Plus rien ne saura
Ne saura nous séparer
Séparer deux corps entichés
Entichés d'amour
Séparer deux êtres unis
Alors de grâce 
Point de larmes.

Pour être avec toi
Je remuerais ciel et terre
Pour être avec toi
Je ferais comme Roméo pour sa Juliette
Pour être avec toi
Je me mettrais à galérer et ramer
Jusqu'à parvenir à toi
Je ferais le voyage des sept mers
Comme le fit Aladin pour sa Schérazad
Je ferais les douze travaux d'Hercule
Je ferais comme Quasimodo pour sa Esméralda
Pour être avec toi
Ni temps ni frontière ne sauraient 
Se mettre à mon encontre
A l'encontre de mon voyage 
Mon voyage vers toi
Ni obstacle dressé ne saurait
M'obliger à renoncer à toi
Mais mon amour pour toi
Me guidera et me montrera 
Le chemin à parcourir
Tellement ton amour s'est épris
S'est épris de mon moi
Tellement je me sens à toi
Pour être avec toi
Rien, plus rien
Ni homme ni loi ne sauraient 
Me faire revenir à la case départ
Mon départ pour te retrouver
Mon départ pour me coller à toi
Mon départ pour te chuchoter mon amour
Mon départ pour t'affirmer
Que je tiens éperdument à toi
Certes mon départ est parsemé d'embûches
Mais rien plus rien
Ne me résignerais à 
En rester là
Je t'aime et je ne cesserais 
Ne cesserais jamais de t'aimer
Ton coeur bat en moi
Ton coeur ne saurait me pardonner
Que je reste tant éloigné de toi
Mais qu'il soit sûr et certain
Il me retrouvera bien devant lui
Il me retrouvera comme le fut 
Notre histoire d'amour
N'étions-nous pas deux êtres en errance?!?
N'étions-nous pas deux être 
En quête de cet amour infaillible
Après tant de sensations d'amourettes
Si mon amour pour toi
Pouvait remplir un océan
J'en dirait qu'il remplirait
Toutes les mers et tous les océans du monde
Tellement mon amour
Est immense et dense
Si mon amour pour toi
Pouvait semer un champs
J'en dirait qu'il sèmerait 
Toutes les plaines et les steppes du monde
Tellement mon amour est fertile
Tout cela pour te dire que
Ni homme ni loi
Ni frontière ni rite
Ne sauraient me détourner
D'être avec TOI