Le blog de @@nickname@@

Je ne veux plus

Entendre parler d’elle

Mon cœur n’a que trop

Souffert à cause d’elle

Elle ne méritait mon amour

Pourtant…

Comme un puceau

J’étais tombé

Sous son charme

Le charme d’un reptile

Qui n’aimait qu’elle-même

Qui n’aimait que son SOI

Elle ne me voulait

Que pour montrer aux autres

Qu’elle peut se permettre

De fracasser les cœurs

Les cœurs des hommes

Je n’en demeurais en reste

Je ne veux plus

Entendre parler d’elle

J’ai failli la dépression

A cause d’elle

Tellement…

J’étais fol amoureux d’elle

Et elle m’a laissé tomber

Comme par enchantement

Pour assouvir son narcissisme

Pourtant…

Elle disait à tout le monde

Qu’elle m’aimait

Faute de preuve contraire

Comme je me disais à moi-même

Tellement…

Mes sens et mon cœur

Ne voyaient qu’elle

Tout en omettant de voir

La vérité en face

La vérité que tout le monde

Tout le monde se murmurait

Par peur de me blesser

De me blesser le cœur

Qu’elle ne méritait mon amour

Qu’elle ne méritait mon estime

Et le destin fit

Que je découvris

Le pot aux roses

Comme qui dirait

Vaut mieux tard

Que jamais

Je ne veux plus

Entendre parler d’elle

Mon âme n’a que trop

Trop souffert

De s’être trompée de cible

Celle qu’elle croyait

N’en faire avec elle

Qu’une unie et indivisible

Ne fut somme toute

Qu’un gros et perfide mensonge

Qui a failli démolir

Démolir et détruire

Ma confiance en ma personne

C’en été de trop

Pour mon MOI

Qui a tant rêvé

Que l’amour l’emporterait

Vers les cimes du bonheur

Qui ne fut…

En tout et pour tout

Qu’un mauvais songe

Qu’un cauchemar lugubre

Mais la véracité des sentiments

Des uns envers les autres

Ne pouvait demeurer

Eternellement cachée

Puisque la vérité

Triomphe toujours

Des âmes incongrues

C’est pour toutes ces raisons

Que je ne veux plus

Entendre parler d’elle

Reposes-toi amour

Tu en as besoin

Après tant d’émotions

Après tant de voluptés

Reposes-toi bien

On a encore…

Toute la vie devant nous

Pour nous reprendre

Pour reprendre de plus belle

Ces moments uniques

Uniques d’amour intense

Un amour qui nous emportes

Emportes et emporteras loin

Aussi loin qu’il le désire

Tellement…

On se sent bien

Bien d’être ensemble

Entre rires…

Entre caresses…

Entre enlacements

Entre regards croisés

Notre amour est tangible

Il n’a de cesse…

De nous prouver

Que nos âmes perdues

Ne le sont plus dorénavant

Puisqu’on est ensemble

Ensemble à nous amouracher

D’un amour pur et fluide

Fluide comme l’eau de roche

Ne souffrant léthargie

Reposes-toi ma dulcinée

Tout autant que tu le pourras

Car nos retrouvailles…

Dans un futur proche

Seront encore plus fort

Que tout ce qu’on a vécu

Jusqu’à présent

Notre amour est notre couronne

Une couronne bien en place

Pour nous mener les yeux fermés

Vers des contrées lointaines

Des contrées encore inexplorées

De nos âmes en quête d’unisson

Je vois en TOI

Ma douce passion

Ma deuxième moitié

Celle là même…

Qui n’avait de cesse…

De me laisser sans voix

Jusqu’à ce que tu puisses…

Fracasser la porte…

La porte de mon cœur

Ce jour là est encore ancré

Ancré en mes fins fonds

Je n’ai jamais aimé

Tout autant que je t’aime

Reposes-toi amour

Tu en as atrocement besoin

Et si tu crois que je t’oublie

Oublie ce que tu crois

Tellement…

Mes sentiments pour toi

Sont les mêmes

Sont fluides et limpides

Reposes-toi amour

Pour retrouver du souffle

Le souffle de l’amour

Est omniprésent en nos cœurs

Et ne demande rien

Sauf qu’on soit ensemble

Ensemble pour la vie

A vieillir…

L’un dans les bras de l’autre

Ca te dit amour ?!?

Elle était là

Elle faisait frémir

Par sa sveltesse

Par sa beauté

Plus d’un…

Je n’en demeurais pas

Malgré toute ma volonté

En reste

Elle était là

Dans ce coin sordide

Avec ses manières

De coquette en puissance

Les regards n’étaient braqués

Que sur elle

Sur sa silhouette de rêve

Ses manières coquettes

Plongeaient toute la junte

La junte masculine

Dans un monde imaginaire

Aucun n’osait l’approcher

Elle était la coqueluche du coin

Son odorat surplombait…

Sans coup férir

Le coin de rêve

Où l’on se trouvait

Mon moi étais ébahi

Par tant d’éclat

Eclat de splendeur

On aurait dit

Une sirène sortie de nulle part

Une déesse d’amour

Venue éclabousser

De sa verve

De sa classe

Classe de femme

Dominant sans partage

Les cœurs des hommes

Qu’en dire ?

Qu’en penser ?

Dire qu’elle est sublime

Et tant mieux

Pour nos cœurs solitaires

Qui ne demandent plus

Qu’à s’accrocher

A un espoir

Même infime

Ne tenant qu’à un fil

D’être l’élu de son cœur

Penser qu’un long chemin

Sépare le rêve de la réalité

Ce qui n’est guère plausible

Pour nos cœurs

En quête d’amour

L’amour d’une coquette

Coquette femme

Nous faisant danser

Comme bon lui semble

Rire de nous

Nous… âmes solitaires

Solitaires en puissance

Lassés des amourettes

En quête d’un amour absolu

Où elle sera l’unique

L’unique héritière

De nos cœurs et âmes

Et ce fameux élu

L’aimera en cœur et âme

Pourtant elle semblait

S’enorgueillir d’avoir

Tant de cœurs à ses genoux

Et aucun ne semblait

Attirer son attention

Un temps soit peu

Elle s’approcha de moi

Un long frisson

Parcouru mon échine

Un battement inouï

S’empara de tout mon moi

Me prit au dépourvu

J’aurais aimé

La prendre entre mes bras

Pour me sentir

Bien dans ma peau

Pour que mon cœur

Se rassure mieux

Elle m’évita d’un brin

Et alla vers un autre

Une autre âme perdue

J’aurais aimé

Que la terre s’ouvre

Et que j’y plonge

Les yeux fermés

Plonger dans le néant

Plutôt qu’avoir

A subir sans crier gare

Les affres d’une telle inconsidération

J’en ai eu le cœur aplati

Je ne savais plus

Où mettre la tête

Tellement…

Je me suis senti RIEN

Ce que j’avais ressenti

Etait très fort

Mais ce ne fut

Qu’une lugubre utopie

J’en trésaille encore

A un point tel

Que je me suis juré

Dans mes fins fonds

De freiner mes impulsions

En face de toute coquette

Quelle qu’elle soit

Et de rester zen

Ne suis-je pas dans le vrai ?!?

Il y’a des amours

Qui restent…

Pour la postérité

Et d’autres…

Qui sont mort-nés

Et toi…

Tu fais partie

De cette dernière catégorie

Toi qui aime si bien

Bousiller mes amours

Qui a un don perfide

A me faire souffrir

A accélérer les ruptures

Je te hais…

Chaque fois…

Que j’entends parler de toi

Mon cœur tressaillit

Un long frisson

Parcoure mon échine

Non pas d’amour

Mais de haine

Et pourtant…

Tu me cherches toujours

Tu cherches toujours

A démolir mes relations

Mes relations d’amour

Pourtant…

Tu as ta vie à mener

Tu as un autre homme

Dans ta sinueuse vie

Il y’a des amours

Qui restent…

Hélas pour toi

La nôtre était mort-née

N’ayant réussi à t’aimer

Mais plutôt…

C’était ma vengeance

Pour tous les malheurs

Que j’ai vécu

A cause de toi

De ton immixtion dans ma vie

Ma vie et mes amours

Je te faisais confiance

Et tu m’as trahi

Tu m’as porté

Le coup de grâce 

Au moment où…

Je ne m’y attendais peu

Peu ou guère

Et c’est pour cette raison

Que je te hais

Plus que tout au monde

Tout ceci pour te dire

Vis ta vie

Et laisse la mienne

Bien TRANQUILLE

Ne te mets plus…

Au travers de mon chemin

Je te bousillerais

Je t’écraserais

Comme on le fait pour le pou

Avec la force d’un taureau

Un taureau aveuglé

Par tant de haine

Par tant de rancœur

Tel un éclair qui jaillit

Qui jaillit d’un nuage noir

Sombre est la nuit

Sombres sont les voix

Les voix de ma rancœur

Jusqu’à aujourd’hui encore

Je ne suis parvenu

Bon gré mal gré

A oublier ta morsure

J’étais comme ensorcelé

Dans mon cœur encore

Tes mots sifflaient

Comme pour annoncer

Une morsure de serpent

Je ne suis pas

Un super héros

Ni même un androïde

Je ne suis qu’un humain

Qui t’a porté loin

Dans ses écrits

Mais tu as su

Comme par magie

Trouver la parade

Pour me porter

Le coup fatal

Des nuits durant

Mon cœur saignait

Mon âme pleurait

Et c’est pourquoi…

Et tant que je vivrais

Ma rancune restera

Bien vivace en mon cœur

J’avais beau essayé

Essayer de te trouver

Tant d’alibis

Pour m’expliquer cette morsure

Les voix de ma rancœur

M’emmenaient loin

En cette nuit silencieuse

Où les esprits de la nuit

Contemplaient mon état

D’homme abattu

Par cette morsure de serpent

Ces esprits murmuraient

En cette nuit silencieuse

L’étendue de mon amertume

Seuls mon cœur et âme

Osaient écouter ces murmures

Murmures et chuchotements

Me faisant arpenter

Une route peu évidente

Peu fréquente

Pour un amoureux

Les temps passés

Ont été gommés

Comme par magie

Par le temps d’aujourd’hui

Un temps noirâtre

Aussi noir que ma rancœur

Tout ceci pour te dire

Je ne te pardonnerais jamais

Et cette morsure de serpent

Je la garderais en moi

Pour qu’elle me serve

Me serve de leçon

Leçon de vie